C'est la langue qui a ouvert à Champollion--et surtout à Fernand Crombette--les portes magnifiques de l'Egypte antique, en leur permettant de percer l'énigme des hiéroglyphes.
Utilisé aujourd'hui encore, comme le latin, le slavon et le sanskrit, pour le culte conservateur de certains, il renferme les beautés de la communauté chrétienne primitive en Egypte.
Dixit le grand Champollion : « Je me livre entièrement au copte. Je veux
savoir l'égyptien comme mon français parce que sur cette langue sera
basé mon grand travail sur les papyrus égyptiens. »
L'essayer, c'est l'adopter--il n'en faut pas plus pour me convaincre de m'y adonner.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire